Il y a de ces gens qui triment dur et qui se font un nom sans trop faire de bruit. Dans la veine des fantastiqueurs québécois, Claude Bolduc a fait son chemin nouvelle après nouvelle, roman après roman, et c'est un plaisir pour moi de le féliciter aujourd'hui (vous serez peut-être 5 à lire mes félicitations à son endroit et seule mon adorable C. saura, j'imagine, de qui il est question, mais qu'à cela ne tienne...).
Bolduc vient de remporter le prix du journal Le Droit pour son plus récent roman, Là-haut sur la colline, un roman fantastique pour les jeunes.
J'ai eu l'occasion de collaborer avec Claude Bolduc en 2005, à la revue Québec français, dans le cadre d'un numéro consacré au fantastique. De tous les textes du dossier, c'est celui que Claude a écrit conjointement avec Serena Gentilhomme qui m'a plu le plus. Une merveilleuse légitimation et défense du fantastique au XXIe siècle. Nous avons gardé contact depuis, lui me disant, chaque fois que nous nous écrivons, il me semble, qu'il vient de terminer un roman, et moi de rétorquer chaque fois, il me semble, que le mien attend encore dans ma mallette...
Petit à petit, depuis ses premières armes en 1989, Bolduc s'est établi comme étant l'un des nouvellistes les plus solides dans le registre fantastique. Il est un des fantastiqueurs préférés de Jean Pettigrew, l'éditeur d'Alire - et ce, même s'il publie la plupart de ses livres aux éditions Vents d'ouest. C'est un des piliers de la « vieille garde » (malgré son jeune âge), lecteur avide des M.R. James, H.R. Wakefield et autres Britanniques de la fin du XIXe et du début du XXe qui ont fait les beaux jours de la ghost story anglo-saxonne.
Mes félicitations les plus sincères à Claude, qui mérite qu'on connaisse son apport au fantastique québécois.
SL
Bolduc vient de remporter le prix du journal Le Droit pour son plus récent roman, Là-haut sur la colline, un roman fantastique pour les jeunes.
J'ai eu l'occasion de collaborer avec Claude Bolduc en 2005, à la revue Québec français, dans le cadre d'un numéro consacré au fantastique. De tous les textes du dossier, c'est celui que Claude a écrit conjointement avec Serena Gentilhomme qui m'a plu le plus. Une merveilleuse légitimation et défense du fantastique au XXIe siècle. Nous avons gardé contact depuis, lui me disant, chaque fois que nous nous écrivons, il me semble, qu'il vient de terminer un roman, et moi de rétorquer chaque fois, il me semble, que le mien attend encore dans ma mallette...
Petit à petit, depuis ses premières armes en 1989, Bolduc s'est établi comme étant l'un des nouvellistes les plus solides dans le registre fantastique. Il est un des fantastiqueurs préférés de Jean Pettigrew, l'éditeur d'Alire - et ce, même s'il publie la plupart de ses livres aux éditions Vents d'ouest. C'est un des piliers de la « vieille garde » (malgré son jeune âge), lecteur avide des M.R. James, H.R. Wakefield et autres Britanniques de la fin du XIXe et du début du XXe qui ont fait les beaux jours de la ghost story anglo-saxonne.
Mes félicitations les plus sincères à Claude, qui mérite qu'on connaisse son apport au fantastique québécois.
SL
1 commentaire:
Bien sûr, il faut faire suivre à M. Bolduc l'adresse de ton blogue !
Il sera sans doute flatté... et content !
C.
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