Après avoir vu son chandail retiré samedi dernier, Bob Gainey s'est offert une autre parade en 2008. Oh, ce ne sera pas celle de la Coupe Stanley : Marian Hossa nous a glissé des mains à 5 minutes de l'heure limite. Pas de trace d'Olli Jokinen. Pas même de Marleau, dont je n'aurais pas voulu même en retour d'une paire de bâtons.
Pour une troisième année consécutive, Gainey a regardé passer la parade. Pas même de Todd Simpson (comme en 2006); pas même de Michael Leighton (le gardien acquis en 2007 dont je n'ai jamais même vu le visage, lui qui n'a jamais joué un seul match dans l'uniforme bleu-blanc-rouge). Niet.
Tandis que les Sénateurs s'équipent pour aller à la guerre, tandis que Pittsburgh entoure Crosby et Malkin en sacrifiant des espoirs, Gainey joue les peureux.
Non seulement le CH n'acquiert-il rien cette année mais en plus, il est perdant au change : on a perdu Cristobal (contre un choix de 2009...).
Faut le faire, quand même : être au 5e rang, au plus fort de la course, et trouver le moyen d'empirer l'équipe en laissant croire aux partisans qu'on cherche un joueur d'impact.
Non, ce n'est pas sur la Sainte-Catherine que défilera la parade cette année...
SL
Pour une troisième année consécutive, Gainey a regardé passer la parade. Pas même de Todd Simpson (comme en 2006); pas même de Michael Leighton (le gardien acquis en 2007 dont je n'ai jamais même vu le visage, lui qui n'a jamais joué un seul match dans l'uniforme bleu-blanc-rouge). Niet.
Tandis que les Sénateurs s'équipent pour aller à la guerre, tandis que Pittsburgh entoure Crosby et Malkin en sacrifiant des espoirs, Gainey joue les peureux.
Non seulement le CH n'acquiert-il rien cette année mais en plus, il est perdant au change : on a perdu Cristobal (contre un choix de 2009...).
Faut le faire, quand même : être au 5e rang, au plus fort de la course, et trouver le moyen d'empirer l'équipe en laissant croire aux partisans qu'on cherche un joueur d'impact.
Non, ce n'est pas sur la Sainte-Catherine que défilera la parade cette année...
SL
1 commentaire:
Moi aussi, Monsieur Feu, je pleure et j'enrage.
Elles sont où, leurs couilles ?
Restées au fond des sacs dans les vestiaires ?
Un tien vaut mieux que deux tu l'auras, qu'on dit.
On a des options pour 2009 ? La belle affaire.
C'est comme se dire : mon REÉR va me rapporter gros un jour. Quel fun ai-je à l'heure actuelle ? Et... encore faut-il que je m'y rende, à la retraite !
Quels mois les partisans passeront la saison prochaine, en attendant le «nouvel arrivage» ? Le CH leur restera-t-il tatoué sur le coeur au fil des défaites et des jeux ratés ?
Bref, j'enrage.
CH.... de Canadiens !
(désolée, le hockey me fait sacrer, c'est comme lorsque je suis au volant d'une auto !)
C.
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