À l'approche de la Louine, j'ai pensé que certains apprécieraient l'occasion de voir un film d'horreur. La beauté de la chose, c'est que vous pourrez le regarder 15 fois pendant votre pause-café.
SL
mercredi 29 octobre 2008
vendredi 10 octobre 2008
Parti prendre son Bovril ?
Mes réactions, à chaud, après ce premier match du Canadien ? En un mot : erratique. Dans tous les aspects, ça aura été une soirée erratique.
Les joueurs du Canadien communiquaient les uns avec les autres ce soir autant que Jojo Savard avec les esprits. Du jeu décousu, des passes aveugles, des tirs plus hors cible encore que les miens - c'est dire... -, un Alex Tanguay qui a l'air d'être parachuté sur une glace pour la première fois de sa vie, un Koivu plus invisible que les candidats aux élections du Fédéral dans mon comté, et un Price qui accorde un but cheap à Vanek en première et flanche en prolongation. Avouez que le CH, sur papier, était nettement plus avantagé en fusillade que Buffalo. Et je ne parle pas de cette séquence qui a mené au but de Vanek, lors de laquelle les défenseurs Komisarek et Markov se sont retrouvés tous les deux à plat ventre. Je ne parlerai pas non plus des bévues à répétition de Ryan O'Byrne, le géant aux pieds d'argile... et aux mains de béton. (Et pssssttt, Ryan : ferme ta bouche, quand tu es sur le banc. Tu passes à la télé...)
Ce qui est fascinant, c'est que RDS n'a pas voulu être en reste, et s'est aussi laissée aller à des pratiques erratiques. Une horloge à l'écran qui n'est pas synchronisée avec celle du HSBC Centre de Buffalo, une infographie laborieuse - je croyais que depuis plusieurs années maintenant on affichait toujours à l'écran l'indicateur d'avantage numérique -, un réalisateur qui n'a pas saisi le nouveau règlement qui interdit les pauses publicitaires après un dégagement refusé - et, donc, qui nous flanque à la figure une pub de gros pick-up Dodge pendant la mise au jeu en territoire des Sabres.
Et, quant à y être, il fallait que les commentateurs soient de la partie. Que dire, donc, du travail de Benoît Brunet ? J'avoue que je comprends très mal cette décision de RDS de confier le rôle d'analyste à un ancien joueur qui s'exprime dans un français approximatif. En fait, RDS y va fort, cette année : Brunet, Jacques Demers, Joël Bouchard et Michel Bergeron pendant et après les matches. Ouch ! J'ai de douloureux souvenirs de mon dernier cours de Mise à niveau...
Je ne pensais jamais dire ça, mais... il y a de quoi s'ennuyer de Yvon.
Mais, au fait, où est Yvon ?
P.S. Moi-même, j'ai été dans l'erreur toute la soirée : j'ai oublié de me décapsuler une bière pour ce match inaugural.
Quand on dit que ça va mal...
SL
Les joueurs du Canadien communiquaient les uns avec les autres ce soir autant que Jojo Savard avec les esprits. Du jeu décousu, des passes aveugles, des tirs plus hors cible encore que les miens - c'est dire... -, un Alex Tanguay qui a l'air d'être parachuté sur une glace pour la première fois de sa vie, un Koivu plus invisible que les candidats aux élections du Fédéral dans mon comté, et un Price qui accorde un but cheap à Vanek en première et flanche en prolongation. Avouez que le CH, sur papier, était nettement plus avantagé en fusillade que Buffalo. Et je ne parle pas de cette séquence qui a mené au but de Vanek, lors de laquelle les défenseurs Komisarek et Markov se sont retrouvés tous les deux à plat ventre. Je ne parlerai pas non plus des bévues à répétition de Ryan O'Byrne, le géant aux pieds d'argile... et aux mains de béton. (Et pssssttt, Ryan : ferme ta bouche, quand tu es sur le banc. Tu passes à la télé...)
Ce qui est fascinant, c'est que RDS n'a pas voulu être en reste, et s'est aussi laissée aller à des pratiques erratiques. Une horloge à l'écran qui n'est pas synchronisée avec celle du HSBC Centre de Buffalo, une infographie laborieuse - je croyais que depuis plusieurs années maintenant on affichait toujours à l'écran l'indicateur d'avantage numérique -, un réalisateur qui n'a pas saisi le nouveau règlement qui interdit les pauses publicitaires après un dégagement refusé - et, donc, qui nous flanque à la figure une pub de gros pick-up Dodge pendant la mise au jeu en territoire des Sabres.
Et, quant à y être, il fallait que les commentateurs soient de la partie. Que dire, donc, du travail de Benoît Brunet ? J'avoue que je comprends très mal cette décision de RDS de confier le rôle d'analyste à un ancien joueur qui s'exprime dans un français approximatif. En fait, RDS y va fort, cette année : Brunet, Jacques Demers, Joël Bouchard et Michel Bergeron pendant et après les matches. Ouch ! J'ai de douloureux souvenirs de mon dernier cours de Mise à niveau...
Je ne pensais jamais dire ça, mais... il y a de quoi s'ennuyer de Yvon.
Mais, au fait, où est Yvon ?
P.S. Moi-même, j'ai été dans l'erreur toute la soirée : j'ai oublié de me décapsuler une bière pour ce match inaugural.
Quand on dit que ça va mal...
SL
lundi 6 octobre 2008
Wo-wo-wo, ma p'tite Julie, si t'étais pas passée après Sophie...
La plantureuse Julie Couillard est passée à Tout le monde en parle hier soir, question de « ploguer » la biographie qu'elle vient de publier. Sur son blogue, Richard Therrien indique que l'ex-blonde de Maxime Bernier est allée pleurer sur le plateau de la clique à Guy A. et se demande si son livre ne serait pas le fruit d'un désir de vengeance.
C'est quand même drôle. Il n'y a pas si longtemps, c'était Sophie Chiasson qui passait la soirée à l'émission de Lepage. Elle aussi allait « ploguer » sa biographie. Et tout le monde trouvait qu'elle faisait dooooooonc pitié, qu'elle avait doooooooooonc été courageuse d'affronter le gros méchant loup Fillion. Et personne ne lui demandait pourquoi elle souhaitait publier une biographie dont elle savait qu'elle serait vendue à coups de milliers d'exemplaires, elle qui apparemment souhaitait oublier sa bataille contre CHOI FM et passer à autre chose. Et personne ne lui faisait remarquer qu'avec les quelque 300 000 $ que lui devaient Fillion, Demers et autres employés de CHOI, elle avait de quoi passer quelques semaines bien quiète, loin des projecteurs, et n'avait pas besoin de faire la grosse piasse avec un livre - d'autant que son conjoint, Michel Therrien, était déjà à ce moment en poste à titre d'entraîneur-chef des Penguins de Pittsburgh (ce qui est un peu plus payant que caissier chez Dunkin) et que, curieusement, Mam'zelle Chiasson recevait des offres pour la télé, contrairement à ce qu'elle avait allégué au cours du procès.
C'est quand même drôle que Guy A. et ses disciples, ce soir-là, aient pleuré la soi-disant léthargie de Sophie Chiasson, le fait que les propos de Fillion aient nui à sa carrière (alors que c'est après le procès qu'elle a commencé à animer Le grand ménage à Canal Vide et à devenir Miss Météo à TVA). C'est quand même drôle que Lepage et Turcotte n'aient pas pleuré aussi le sort des Kathleen, jumelles Magma, Jean-Marc Parent et autres victimes de Piment Fort qui, dans certains cas, ont dû réorienter leur carrière parce qu'ils n'étaient pas en position pour se défendre.
C'est quand même drôle. Mam'zelle Chiasson veut effacer de sa vie ce sombre épisode, et pourtant elle publie un livre lucratif sur ledit épisode, consent à aller le publiciser avec la mafia du Plateau à Tout le monde en parle et accepte de poser sur la page frontispice de l'édifiante revue 7 jours pour parler de son dur combat contre le diable. J'ai connu des amis moins loquaces parce qu'ils souhaitaient oublier la perte d'un animal...
C'est quand même drôle. Drôle de constater que Dany Turcotte n'a pas osé faire de blagues de mauvais goût sur la grosse poitrine de Mam'zelle Chiasson comme il en a fait hier soir sur celle de Julie Couillard. Sans doute anticipait-il de se faire poursuivre lui aussi...
J'imagine que si Julie Couillard avait été l'ex-blonde d'un député bloquiste, on l'aurait un peu ménagée. Ou peut-être qu'après tout, tout ce qu'il lui manquait, c'était un persécuteur détesté par la bande à Lepage.
C'est quand même drôle. Et tellement plate, quand tu fais pas partie de la bonne gang.
SL
C'est quand même drôle. Il n'y a pas si longtemps, c'était Sophie Chiasson qui passait la soirée à l'émission de Lepage. Elle aussi allait « ploguer » sa biographie. Et tout le monde trouvait qu'elle faisait dooooooonc pitié, qu'elle avait doooooooooonc été courageuse d'affronter le gros méchant loup Fillion. Et personne ne lui demandait pourquoi elle souhaitait publier une biographie dont elle savait qu'elle serait vendue à coups de milliers d'exemplaires, elle qui apparemment souhaitait oublier sa bataille contre CHOI FM et passer à autre chose. Et personne ne lui faisait remarquer qu'avec les quelque 300 000 $ que lui devaient Fillion, Demers et autres employés de CHOI, elle avait de quoi passer quelques semaines bien quiète, loin des projecteurs, et n'avait pas besoin de faire la grosse piasse avec un livre - d'autant que son conjoint, Michel Therrien, était déjà à ce moment en poste à titre d'entraîneur-chef des Penguins de Pittsburgh (ce qui est un peu plus payant que caissier chez Dunkin) et que, curieusement, Mam'zelle Chiasson recevait des offres pour la télé, contrairement à ce qu'elle avait allégué au cours du procès.
C'est quand même drôle que Guy A. et ses disciples, ce soir-là, aient pleuré la soi-disant léthargie de Sophie Chiasson, le fait que les propos de Fillion aient nui à sa carrière (alors que c'est après le procès qu'elle a commencé à animer Le grand ménage à Canal Vide et à devenir Miss Météo à TVA). C'est quand même drôle que Lepage et Turcotte n'aient pas pleuré aussi le sort des Kathleen, jumelles Magma, Jean-Marc Parent et autres victimes de Piment Fort qui, dans certains cas, ont dû réorienter leur carrière parce qu'ils n'étaient pas en position pour se défendre.
C'est quand même drôle. Mam'zelle Chiasson veut effacer de sa vie ce sombre épisode, et pourtant elle publie un livre lucratif sur ledit épisode, consent à aller le publiciser avec la mafia du Plateau à Tout le monde en parle et accepte de poser sur la page frontispice de l'édifiante revue 7 jours pour parler de son dur combat contre le diable. J'ai connu des amis moins loquaces parce qu'ils souhaitaient oublier la perte d'un animal...
C'est quand même drôle. Drôle de constater que Dany Turcotte n'a pas osé faire de blagues de mauvais goût sur la grosse poitrine de Mam'zelle Chiasson comme il en a fait hier soir sur celle de Julie Couillard. Sans doute anticipait-il de se faire poursuivre lui aussi...
J'imagine que si Julie Couillard avait été l'ex-blonde d'un député bloquiste, on l'aurait un peu ménagée. Ou peut-être qu'après tout, tout ce qu'il lui manquait, c'était un persécuteur détesté par la bande à Lepage.
C'est quand même drôle. Et tellement plate, quand tu fais pas partie de la bonne gang.
SL
jeudi 2 octobre 2008
Mort et résurrection...
Non, soyez sans crainte : Paul Newman ne renaîtra pas de ses cendres. Ses admiratrices risqueraient d'être déçues...
Mais certaines résurrections surprennent plus que d'autres. Il y a deux ans, je me suis procuré le disque de Noël de Twisted Sister. Très efficace. Très « années 1980 », mais on aurait été déçu du contraire : les musiciens s'assument et n'ont pas voulu s'adapter à la saveur de la semaine. Ça fonctionne rarement, de toute façon. Dream Theater a voulu faire un peu « Muse » sur Octavarium, il y a quelques années, et... c'est poche.
Les cinq bougres qui veulent rocker ressuscitent encore cette semaine (les chats ont neuf vies; je soupçonne Twisted Sister d'en avoir peut-être plus...) et font la preuve de la vacuité que provoque le flux de nouvelles dont on nous bombarde chaque jour. Le site Web The Onion nous apprenait en début de semaine que les membres du groupe consentent maintenant à l'accepter - le complément d'objet (« l' », ou it, en anglais), auquel il est fait référence dans leur chanson la plus populaire « We're not gonna take it », reste très obscur, indéfini.
Bon, je peux comprendre que les gars sont passés à autre chose, qu'ils ont femme et enfants, qu'ils ont délavé leur maquillage et ont rangé leurs perruques. Mais on vient de tuer un peu un des grands hits des années 1980. Le chanteur s'était fait limer les dents pour avoir l'air plus méchant. À quoi bon, maintenant ? Et que dire de cette « nouvelle » ? Imaginons que LCN nous apprenne que dorénavant, pour Julie Masse, ce n'est plus zéro...
Je suis perplexe. Et j'attends la prochaine résurrection de Dee Snyder et sa bande pour, l'espéré-je, en savoir plus.
SL
Mais certaines résurrections surprennent plus que d'autres. Il y a deux ans, je me suis procuré le disque de Noël de Twisted Sister. Très efficace. Très « années 1980 », mais on aurait été déçu du contraire : les musiciens s'assument et n'ont pas voulu s'adapter à la saveur de la semaine. Ça fonctionne rarement, de toute façon. Dream Theater a voulu faire un peu « Muse » sur Octavarium, il y a quelques années, et... c'est poche.
Les cinq bougres qui veulent rocker ressuscitent encore cette semaine (les chats ont neuf vies; je soupçonne Twisted Sister d'en avoir peut-être plus...) et font la preuve de la vacuité que provoque le flux de nouvelles dont on nous bombarde chaque jour. Le site Web The Onion nous apprenait en début de semaine que les membres du groupe consentent maintenant à l'accepter - le complément d'objet (« l' », ou it, en anglais), auquel il est fait référence dans leur chanson la plus populaire « We're not gonna take it », reste très obscur, indéfini.
Bon, je peux comprendre que les gars sont passés à autre chose, qu'ils ont femme et enfants, qu'ils ont délavé leur maquillage et ont rangé leurs perruques. Mais on vient de tuer un peu un des grands hits des années 1980. Le chanteur s'était fait limer les dents pour avoir l'air plus méchant. À quoi bon, maintenant ? Et que dire de cette « nouvelle » ? Imaginons que LCN nous apprenne que dorénavant, pour Julie Masse, ce n'est plus zéro...
Je suis perplexe. Et j'attends la prochaine résurrection de Dee Snyder et sa bande pour, l'espéré-je, en savoir plus.
SL
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