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mercredi 5 novembre 2008

Flammèche : (re)faire l'histoire

Les États-Unis ne sont pas mon pays et pourtant je me sens plus léger ce matin, grâce à la victoire écrasante d'Obama - 367 grands électeurs, alors qu'il n'en avait besoin que de 270.

À mon avis, une image vaut mille mots :



Il faut un rassembleur (et un fichu désir de changement de la part du peuple) pour que la Virginie (après 40 ans de républicanisme), la Floride, la Caroline du Nord et l'Ohio votent pour les démocrates ! On assiste aujourd'hui à un tournant de l'histoire, et les Américains viennent de lancer un message dont la clarté n'a eu d'égale, peut-être, que la victoire des Républicains de Reagan dans les États de New York, du Massachusetts et de la Californie, jadis...

Bonne chance, Barack. Le cynique qui sommeille (à peine) en moi espère seulement qu'on n'essaiera pas de t'assassiner dans les deux prochaines années. Parce que dans le Sud, ça doit rager fort, ce matin, à coups de Kriss de Kaliss de Kalvaire...

SL

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Ouaip... c'est ma seule peur : que Barack se fasse piéger, qu'on le liquide avant même qu'il siège pour de bon à la présidence, d'ici le 20 janvier...

Mais bon, comme le répète souvent un homme que j'admire, Lincoln Burrows (!), you got to have faith.

Anonyme a dit…

Dis donc, Monsieur Feu, c'est nouveau, cette pub sur ton blogue ?

(celle de Pacman)

Steve Laflamme a dit…

Adorable C.,

Ce n'est pas une pub : c'est le JEU - c'est de ça que je disais que tu devais te méfier, en cas d'oisiveté... parce qu'on peut y passer des heures.

SL

Anonyme a dit…

Ça fait bizarre de te lire parce que je me faisais la même idée ce matin. Même si je ne suis pas américain, j'étais content de voir que c'était lui qui avait gagné.

C'est certain qu'entre une campagne électorale et la réalité, on peut s'attendre à quelques déceptions. Mais on peut quand même avoir du "hope", comme il le dit si bien.

Si tu suis toujours la politique, je refais un pool pour les élections Québécoise ;)