Vendredi, le cinéma américain (et le hockey, jusqu'à un certain point) ont perdu une icône : l'acteur Paul Newman est décédé des suites du cancer à l'âge vénérable de 83 ans.
Newman aura passé les dernières années de sa vie à combattre la maladie, à détenir une écurie de course automobile et à diriger une entreprise de produits alimentaires dont l'entièreté des profits étaient (et continueront de l'être, je l'espère) versés à des oeuvres caritatives.
Surtout, à mes yeux, Paul Newman, c'est Reggie Dunlop, le vaillant (et colérique) capitaine des Chiefs de Charlestown dans Slap Shot.
Combien de fois mes amis et moi avons-nous visionné ce film culte des années 1970... Quelle réplique du film n'avons-nous pas apprise par coeur ?
Ce soir, des amis viennent à la maison jouer à un jeu de société que j'ai créé il y a 8 ans, un jeu de hockey. Dans 15 minutes, ils seront à la maison, et j'ai annoncé à mon adorable C. que je hisserai la bannière de Reggie Dunlop, question de retirer son numéro 7. L'étiquette du jus de raisin Newman's Own que j'ai bu pour souper sera suspendue au luminaire qui éclairera la surface de jeu. Aussi, pour l'occasion, tous mes joueurs s'appelleront Paul, ce soir.
Enfin, question de rendre un dernier hommage au bagarreur des Chiefs qui a prêché par l'exemple, voici en quoi Reggie Dunlop aurait pu changer la LNH, si l'on en croit Puck Daddy, le signataire du texte vers lequel je vous envoie.
Repose en paix, Reggie. Tes jointures meurtries tendent le flambeau à la relève.
SL
Newman aura passé les dernières années de sa vie à combattre la maladie, à détenir une écurie de course automobile et à diriger une entreprise de produits alimentaires dont l'entièreté des profits étaient (et continueront de l'être, je l'espère) versés à des oeuvres caritatives.
Surtout, à mes yeux, Paul Newman, c'est Reggie Dunlop, le vaillant (et colérique) capitaine des Chiefs de Charlestown dans Slap Shot.
Combien de fois mes amis et moi avons-nous visionné ce film culte des années 1970... Quelle réplique du film n'avons-nous pas apprise par coeur ?
Ce soir, des amis viennent à la maison jouer à un jeu de société que j'ai créé il y a 8 ans, un jeu de hockey. Dans 15 minutes, ils seront à la maison, et j'ai annoncé à mon adorable C. que je hisserai la bannière de Reggie Dunlop, question de retirer son numéro 7. L'étiquette du jus de raisin Newman's Own que j'ai bu pour souper sera suspendue au luminaire qui éclairera la surface de jeu. Aussi, pour l'occasion, tous mes joueurs s'appelleront Paul, ce soir.
Enfin, question de rendre un dernier hommage au bagarreur des Chiefs qui a prêché par l'exemple, voici en quoi Reggie Dunlop aurait pu changer la LNH, si l'on en croit Puck Daddy, le signataire du texte vers lequel je vous envoie.
Repose en paix, Reggie. Tes jointures meurtries tendent le flambeau à la relève.
SL